Les activités professionnelles du journalisme est étroitement liée aux questions de pouvoir. Les médias sont responsables de la formation de l’opinion publique, de la politique et de l’économie.

La culture de la société, ont la capacité d’évoluer progressivement, méthodiquement et sur une longue période de temps pour influencer sur l’avis de chaque individu, préparant, consolidant et accélérant le processus d’acceptation d’idées, cela les condamne à être dans une constante dans une zone de conflit pour leur possession. 

Le premier lieu dans cette lutte est le pouvoir qui a un intérêt… dans l’utilisation des médias en fonction de ses propres objectifs. Dès lors, une question légitime se pose : »Qu’est-ce que le journalisme dans le système des relations politiques? Dans le système des relations politiques – le journaliste est-il un sujet, un objet ou un moyen? Et quel rôle jouent les responsables des médias dans leur interaction avec les autorités? »

D’une part, nous pouvons affirmer que le journalisme est un sujet indépendant des relations de pouvoir, car il est capable de changer le comportement des gens, en influençant l’esprit des gens. Les politologues appellent une fonction de la socialisation politique. 

Les redacteur de mémoires, quant à eux, se voient confier le rôle de gardiens de l’information – des flux d’informations qui forment les attitudes et les mentalités sociopolitiques, éduquent la conscience politique de la société et contribuent à l’accumulation d’informations et de connaissances, de connaissances politiques d’une personne.

Cependant, les objectifs, des changements de comportement des gens induits par les « Lumières » politiques sont très vagues. D’où des « accidents » non planifiés

dans l’impact des médias sur le public.

Le rôle du rédacteur en chef dans le système de gestion de la salle de presse

Le système de gestion de l’édition moderne comprend de nombreux sujets de gestion, y compris non seulement des personnes personnalisées – le principal rédacteur en chef et directeur général de la publication, ainsi que leurs adjoints, mais aussi des organes collectifs, qui comprennent les fondateurs des médias, le comité de rédaction, Conseil public.

Bien sûr, dans les petites rédactions, qui comprennent des publications municipales ou régionales, où le personnel ne dépasse pas trois personnes, il n’y a pas particulièrement besoin de séparer ces responsabilités.

Dans les grandes équipes de 20 salariés ou plus, la répartition des responsabilités est une nécessité de production.

En plus de posséder des qualités organisationnelles, le rédacteur en chef, de par son statut, doit être porteur d’une certaine vision du monde, puisque c’est lui qui détermine en grande partie la position idéologique de la publication. Dans le monde moderne, il doit comprendre le journalisme, les sites de mémoires sur des sujets politiques, les réseaux sociaux.

Ainsi, après avoir examiné les diverses responsabilités fonctionnelles d’un rédacteur en journalisme politique, il devient clair que ce poste exige d’un spécialiste qu’il ait un ensemble de qualités et de compétences professionnelles pour gérer avec succès l’équipe éditoriale. 

Les tâches d’un éditeur incluent la résolution non seulement de tâches administratives, mais également de tâches créatives. Porteur d’une certaine vision du monde,

L’éditeur doit pouvoir clairement mener à bien la politique d’information de la publication, pouvoir former un concept idéologique et créatif des médias.

Le problème du développement d’une culture de la pensée politique professionnelle

Le problème du développement d’une culture de la pensée politique professionnelle chez les journalistes et les spécialistes des relations publiques n’est pas seulement un problème éducatif : de nombreux chercheurs écrivent aujourd’hui qu’un nouveau modèle de formation des spécialistes est nécessaire, un modèle qui développera les qualités humaines et l’éthique. 

« L’universalité de l’enseignement supérieur implique qu’il est conçu non seulement pour donner des connaissances, mais aussi pour éduquer les gens. À l’heure de la crise des valeurs, elle a un rôle éthique à jouer. » 

À l’heure du triomphe des technologies politiques, de la diversité des canaux médiatiques et des contextes d’information, il est important de définir les rôles sociaux du journalisme et de prendre conscience de la véritable tâche des médias : être un chef d’orchestre de l’activité démocratisante, promouvoir le développement de la société civile et inclure les citoyens dans les processus d’autogestion publique. 

C’est important non seulement pour ceux qui commencent leur carrière dans les médias, mais aussi pour la société dans son ensemble, qui a besoin d’informations dignes de confiance.

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